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Joyeuses fêtes

En cette fin de mois de décembre, je vous souhaite de joyeuses fêtes et une année 2019 passionnante.

Je ne manquerai pas de vous tenir informé tout au long de cette nouvelle année sur les dernières tendances de notre monde digital toujours en mouvement. Les grands principes évoqués en 2018 resteront d’actualité en 2019 mais certaines nouvelles orientations marketing se dégageront : notamment le marketing vocal avec l’avènement des nouvelles enceintes connectées. La rapidité de votre site web et la surveillance de votre « image digitale » feront toujours partie des incontournables. L’expérience utilisateur sera votre priorité numéro 1 et l’ergonomie de votre site devra répondre à l’utilisation de plus en plus importante du mobile.

Alors, rendez-vous en 2019 !

Google my business Luckyweb
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Google My Business à la mode Facebook

Google My Business prend des airs de réseau social

Google My Business ou Google Maps pour certains, semble prendre de plus en plus des allures de réseau social. Étonnant, alors que Google s’apprête à fermer Google+ pour le grand public. Les fonctionnalités s’étoffent de plus en plus et chaque mois apporte son lot de nouveautés. Nous évoquions déjà dans un article précédent la possibilité de réserver directement sa table de restaurant sur Google My Business.

 

Il est à présent possible de suivre certains endroits à partir d’un bouton « follow ». Cela permet à l’utilisateur de reçevoir les dernières actualités d’un établissement, de découvrir les promotions, les nouvelles offres, les évènements éventuels, etc… Il s’agit donc d’une sorte de fil d’actualité (tiens, tiens,…) qui vous permet de suivre vos marques ou commerçants préférés. Le bouton « follow » n’est pas encore disponible en Belgique mais déjà opérationnel aux USA, au Canada, Australie, etc… L’avenir nous dira si le géant de Mountain View le déploiera sur l’Europe.

 

Autre innovation : la messagerie qui vous permet de contacter directement le commerce sans devoir quitter l’application et donc sans clic supplémentaire vers le site web. Cela ne sera bien entendu possible que pour les entreprises ayant un compte Google My Business. Les entreprises titulaires de ce compte pourront alors répondre directement au client potentiel. Aie, il faut déjà relever ses mails, sa messagerie Messenger, ses WhatsApp et voici qu’il faudra s’occuper de « Google message » en plus, direz-vous !

 

Pour rappel, il est déjà possible pour tout entreprise présente sur Google My Business de publier des « posts » un peu comme cela se fait déjà sur Facebook ou Twitter. Ces « posts » permettent de réaliser un marketing plus ciblé où le client potentiel peut découvrir un évènement, un nouveau produit ou la dernière vidéo publiée sur votre chaine Youtube ! Et cela prendra tout son sens, une fois le bouton «follow » disponible.

 

Je ne manquerai pas de suivre ces évolutions et de vous tenir informé à travers mes actualités.

Restaurant Google réserver sa table
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Reserve Google restaurant

Réserver sa table de restaurant directement depuis Google My Business

De nouvelles fonctionnalités sont apparues pour les restaurateurs dans leur page Google My Business. Leurs menus peuvent à présent être directement visibles dans leur fiche sur mobile mais pas seulement. L’internaute a maintenant aussi la possibilité de réserver une table au restaurant sur la page Google My Business. Les plates-formes de réservation qui sont maintenant légions sur le net ont du soucis à se faire et ne voient pas toutes d’un bon oeil l’apparition de Google sur ce terrain. Le service a été testé aux USA avec succès semble-t-il et le géant de Mountain View semble vouloir l’étendre à d’autres langues que l’anglais.

L’intégration de ce module de réservation peut se faire sur le site web du restaurateur ou peut être directement intégré dans la page Google My Business. Les informations de réservation sont alors automatiquement envoyées vers le logiciel choisi par le restaurateur afin d’enregistrer la demande de table. Il est totalement gratuit pour l’internaute mais payant pour le restaurateur. Google prélève en effet une commission à chaque réservation effectuée.

Le petit bouton « réserver » de Google est pratique et simple et n’oblige plus l’internaute à rechercher l’onglet de réservation dans le site web du restaurant. Il permet en temps réel de voir si une table est disponible avant de la réserver. C’est tout bénéfice pour les gens pressés et il est fort à parier que le système de réservation sera bien vite adopté. Le bénéfice est aussi important pour le restaurant qui voit ses tables se remplir sans devoir à tout bout de champ décrocher le téléphone.

 

le bateau connecté
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Le bateau connecté, déjà une réalité

Petite visite au salon nautique de la Rochelle

Lors du salon nautique international du Grand Pavois à la Rochelle, certains constructeurs présentaient leurs solutions pour rendre le bateau, qu’il soit à moteur ou à voile, entièrement connecté et « pilotable » directement depuis un smartphone ou une tablette. 

La maison connectée est une réalité aujourd’hui et elle permet de gérer à distance son chauffage, sa consommation d’électricité, l’éclairage, etc… Il en va de même pour la voiture ou certains constructeurs permettent de gérer à distance l’ouverture des portes du véhicule, de le géolocaliser, de surveiller son autonomie, régler la climatisation, etc… La navigation et la gestion de son bateau est tout aussi complexe, voire plus, et le bateau connecté est « la solution » pour gérer toutes les fonctions lors d’une navigation. Le bateau devient ainsi plus sûr pour le plaisancier et accroit son plaisir lors des sorties en mer. Le bateau connecté vous permet de récolter en temps réel des données sur son état et sa position, de mémoriser vos navigations et vos mouillages préférés, de recevoir une alerte sur votre mobile si celui-ci quitte une zone géographique définie, de piloter certaines fonctions directement depuis votre smartphone, de prévoir les maintenances, etc…

La plupart des systèmes connectés fonctionnent via une série de capteurs qui récoltent toute une série de données en temps réel tel que la météo, les eaux usées, la vitesse, les données moteur, les performances, l’apparition de problèmes, etc… Dans le cas des moteurs Mercury par exemple, il suffit d’installer un boitier relié au moteur et ce dernier vous envoie des informations très précises sur les tours par minutes, le carburant, la vitesse, le niveau des liquides, etc… directement à travers une application simple et intuitive. Vous retrouvez ainsi toutes ces informations via l’application VesselView sur votre mobile ou tablette et vous avez un accès instantané à tout ce que vous souhaitez savoir. L’application vous informe en cas de problème et vous permet également de collecter des informations sur votre moteur qui pourront vous aider à mieux entretenir ce dernier ou à aider votre concessionnaire à réaliser un entretien ou un dépannage avisé. L’application est disponible sous IOS ou Android et vous permet de tout gérer en quelques clics.

Le marché de la plaisance connectée en est encore à ses débuts et les quelques constructeurs présents qui offraient déjà des solutions digitales me confiaient l’intérêt croissant de la clientèle pour gérer leur bateau directement via une appli sur leur mobile. Le bateau lui aussi, sera peut-être un jour autonome et vous mènera en toute sécurité au mouillage choisi sur son appli !

gérer sa réputation sur le net
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E-Reputation, les avis qui comptent

E-Reputation, les avis qui comptent

 

L’ e-réputation est la notoriété numérique d’une entreprise, d’un commerce ou d’une marque à travers les avis publiés par les internautes sur le web. Il est aujourd’hui essentiel de surveiller l’image véhiculée sur la toile car de mauvaises cotations peuvent ruiner tous les efforts de référencement et être synonyme de pertes importantes de chiffre d’affaire. Certaines études stipulent que 80% des consommateurs recherchent des avis avant d’acheter un produit ou un service et que 30% d’entre eux renoncent à l’achat en cas de commentaires négatifs.

Les internautes prennent donc de plus en plus l’habitude de vérifier ce que l’on dit de vous avant de passer à l’achat d’un produit ou d’un service, et ils le font sur de multiples plateformes. Pour les restaurant, hotels et l’horeca en général, le premier portail est aujourd’hui TripAdvisor à côté de Booking.com mais il en existe d’autres comme Airbnb, Viator, etc…

Depuis quelques années, les pages Google My Business (Google Maps) prennent de plus en plus de place sur la toile. Impossible d’y échapper même si vous n’avez pas souhaité y apparaitre. Un internaute peut en effet laisser un avis sur votre entreprise sans que vous n’en soyez informé. Et bien souvent c’est par un client que l’entrepreneur apprend qu’il a écopé d’une cotation souvent peu élogieuse à propos de ses services ou de ses produits. Il sera de plus souvent impossible de l’enlever. La première réaction est donc de répondre aimablement à la personne qui vous note. Il faut par la suite mettre en place une stratégie de communication visant à obtenir auprès de ses clients satisfaits des commentaires positifs. Plutôt que de subir, encouragez vos clients à publier des avis. C’est un travail supplémentaire que peu d’entrepreneurs ont le temps de mener et l’idéal sera de confier votre réputation à une agence en e-reputation qui possède des outils performants pour réaliser une veille permanente sur le web. L’agence saura comment répondre tout en ayant accès aux différentes plateformes.

Ne négligez donc pas votre bouche à oreille numérique car si vous décidez de ne pas prendre en considération les commentaires publiés, sachez que vos clients potentiels, eux les lisent.

Google image
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Google image à la mode Pinterest

Google image à la mode Pinterest

Google se renouvelle très régulièrement et il est primordial pour les « digital marketers » de se tenir au faite de tous les changements opérés par le géant de Montain View.

Google testerait donc un nouvel affichage des résultats images un peu selon le design de Pinterest. Cette nouvelle mise en page affiche des images de manière verticale et non plus horizontale et une légende apparaît juste sous l’image. Certains internautes sont déjà susceptibles de faire partie du test et pourraient découvrir cette nouvelle mouture (l’exemple ci-joint montre ce type d’affichage mais pas encore de manière verticale). Il n’est donc plus nécessaire de cliquer sur l’image pour découvrir d’ou elle provient. Cette nouvelle présentation pourrait, si elle est adoptée par Google, doper le trafic des sites indexés. Et l’importance de titrer correctement les images d’un site ne serait que plus évidente encore. 

Certains y voient déjà la volonté de Google de devenir un vrai concurrent d’Ebay ou Amazon et de devenir la nouvelle référence dans l’ e-commerce. N’oublions pas que Google s’est allié récemment avec le géant de la grande distribution Wallmart et encore plus récemment avec Carrefour. Google image pourrait donc dans un avenir très proche vous permettre de faire un lien pour commander via Google Shopping.

Le bouton « voir l’image » avait déjà disparu afin de diriger l’internaute directement vers le site qui a publié l’image. Ceci oblige donc l’utilisateur à se rendre sur le site web pour découvrir la photo dans son contexte et ainsi théoriquement amener plus de trafic vers les sites web. Cette opération vise aussi à réduire les vols de photos suite à l’avertissement publié sur les conditions d’utilisation de l’image. Pour rappel, il est toujours fortement conseillé de publier ses propres photos dans son site web et d’éventuellement compléter avec celles provenant de banques d’image libres ou payantes. Si toutefois l’internaute souhaitait retrouver le bouton « voir l’image » il est encore possible d’installer un plugin « view image » sur les navigateurs Chrome ou Firefox. 

Facebook le réseau social des vieux
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Facebook, le réseau social des « vieux » ?

Facebook, le réseau social des « vieux » ?

Facebook fête cette année ci ses 10 ans et doit admettre qu’il n’est plus le réseau social de prédilection de notre jeunesse. Une étude américaine a révélé récemment que les jeunes utilisateurs se détournaient de Facebook au profit d’autres applications plus tendances comme Instagram, Youtube ou Snapchat.

Ces trois plateformes sont les plus populaires aux Etats-Unis mais le constat semble être le même en Europe. Médiamétrie en France a publié récemment une étude sur l’utilisation des réseaux sociaux en France et celle ci révèle que les 15 à 24 ans passent 18 minutes par jour sur Youtube, 12 minutes par jour sur Snapchat et 9 minutes par jour sur Facebook. Le magazine Géo Ado a interrogé les jeunes au sujet de Facebook et a publié dernièrement que la jeunesse qualifie le réseau social comme « ne servant à rien », « dépassé » et uniquement utilisé par « les vieux ». Une autre étude confirme que l’utilisateur moyen du réseau Facebook est âgé de 40 ans !

Mais que s’est il passé pour que Facebook, il y a quelques années encore le réseau social préféré des jeunes, ne rencontre plus autant de succès chez nos ados ? Peut-être tout simplement parce qu’il n’est plus un espace privé entre jeunes du même âge, du même groupe ? La faute à Papy Jean ou Tante Odile qui se sont invités et qu’il était difficile de refuser au prétexte qu’on n’avait pas Facebook ? L’intrusion des parents et de la famille a probablement poussé nos jeunes vers d’autres plateformes plus « intimes ».

Cette analyse montre que le paysage technologique est en évolution constante et que ce qui était vrai hier pour un responsable marketing digital ne l’est plus forcément aujourd’hui. Il est donc primordial de confier sa communication à une agence toujours à la pointe des dernières tendances si vous ne souhaitez pas passer à coté de votre cible !

Comment appliquer le GRPD
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Le GRPD en 3 étapes

Le GRPD en 3 étapes

Vous l’avez certainement lu ou entendu ces derniers mois, le GRPD fait partie des actualités digitales du moment. Le but de cet article n’est pas de vous réexpliquer de long en large tout ce qu’il faut mettre en place mais de vous rappeler les 3 points importants pour vous mettre en conformité essentiellement dans le cadre d’un site web présentant un formulaire de contact ou sur un site de e-commerce.

1. Obtenir le consentement de la personne.

L’idéal est d’ajouter à votre formulaire en ligne recueillant les données personnelles de l’internaute, une case à cocher obligatoire où la personne accepte la manière dont vous allez traiter ses données et la finalité du traitement (recontacter, envoyer une newsletter, etc…)

2. Conserver la preuve du consentement.

Vous avez l’obligation de démontrer que la personne a bien donné son consentement et vous devez donc garder une trace de l’envoi du formulaire coché.

3. Informer la personne de ses droits.

L’internaute qui est susceptible de remplir le formulaire devra connaître l’identité du responsable de traitement, les coordonnées du délégué à la protection des données, la finalité des traitements, les personnes pouvant y accéder, le type de données collectées, leur durée de conservation, l’existence du droit de demander l’accès aux données en vue de leur rectification ou l’effacement de celles-ci et la procédure pour exercer son droit d’accès, de rectification et d’effacement.

Ces quelques règles impliquent que vous constituiez un registre de traitement des données et que vous les sécurisiez correctement. Cela passe aussi obligatoirement par un site en « https » pour tout site de vente en ligne.

Roomba 980
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Test du Roomba 980

Test Roomba 980

Après une première sélection d’aspirateurs robots connectés et donc associés à une application, nous avons choisi de tester le Roomba 980 de la marque I-Robot et nous n’avons pas été déçus !

Voilà plus d’un mois qu’il nettoie les bureaux et les résultats sont plus que convaincants.

L’application est très intuitive et s’est téléchargée sans problème sur le smartphone. Il est compatible IOS comme Android. L’appairage s’est également déroulé sans souci et nous avons pu configurer le tout en moins de 5 minutes.

L’aspirateur robot, une fois relié à votre smartphone se commande très facilement même en dehors de chez vous. Les fonctions principales sont présentes dans l’appli, à savoir le mettre en route, arrêter son fonctionnement, programmer le nettoyage hebdomadaire, activer le carpet boost, etc… Nous avons même trouvé qu’il était plus facile d’utiliser l’application que les boutons sur l’aspirateur. Il peut également vous envoyer des notifications pour vous dire qu’il a terminé le travail ou qu’il s’est coincé. Il vous averti aussi lorsqu’il retourne à sa base de recharge et lorsque son réservoir est rempli ou qu’il nécessite un nettoyage. Vous pourrez aussi vérifier sur l’appli le temps de nettoyage en cours et la surface qu’il a nettoyée lors de chaque mission car il est doté d’une caméra pour cartographier vos pièces. Il est donc capable de se repérer dans les différentes pièces de votre habitation afin de n’en oublier aucune. Et cerise sur le gâteau, il vous parle afin de vous expliquer qu’il se charge, qu’il a terminé son travail ou qu’il rencontre un problème !

Au niveau du nettoyage, nous l’avons testé sur différents revêtements et avec différents type de saletés (poussière, sable, miettes, etc…) et il s’en est à chaque fois correctement tiré. Il contourne les obstacles et nettoie parfaitement leur pourtour. Il grimpe sans problème sur les tapis même un peu épais mais s’est toutefois emmèlé quelques fois les brosses dans les câbles.

Dans la boite du Roomba 980, vous trouverez deux balises qui font office de mur virtuel et vous permet de lui interdire l’accès à certaines pièces ou à certains bibelots fragiles.

Nous avons donc trouvé cet aspirateur robot très performant et doté d’une application ergonomique et bien pensée.

En résumé :

Les points forts :

-Application ergonomique et complète pour l’usage quotidien de Roomba 980.
-Programmation facile et rapide.
-Alertes sous forme de notifications (fin de tâche, blocage, etc…) sympas sur smartphone.
-Possibilité de le contrôler en dehors de l’habitation pour lancer par exemple un nettoyage en votre absence.
-Robot autonome intelligent avec excellente logique de nettoyage.
-Performance de bon niveau sur différents types de sol y compris tapis épais grâce à son capteur.
-Balises pour interdir l’accès du Roomba 980 à certaines pièces ou objets fragiles.
-Brossette latérale plutôt efficace pour les angles et les plinthes.

Les points faibles :

-Prix un peu élitiste par rapport aux concurrents
-A perdu quelques fois la connexion avec le smartphone mais le reparamétrer n’a pris que quelques minutes.
-Se coince facilement dans les câbles
-S’est coincé quelques fois sous certains meubles situés juste à sa hauteur.

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Facebook, page désavantagé ?

Le réseau social va-t-il défavoriser les pages de marques et de médias ?

Mark Zuckerberg a fait trembler les entreprises qui investissent depuis longtemps dans les « pages » de Facebook en annonçant il y a quelques semaines qu’il allait favoriser dans le fil d’infos de ses utilisateurs les contenus des proches et des amis au détriment de ceux des pages de marques et de médias. Mais concrètement, quelles en seront les conséquences ?

C’est une solide secousse dans l’univers du marketing digital que le géant des réseaux sociaux a provoqué avec cette annonce. En effet le contenu partagé par les pages Facebook des médias et des entreprises sera significativement désavantagé au profit du contenu des amis et de la famille. Autant dire que l’audience gratuite sera proche de zéro surtout pour les pages qui ont difficile à créer de l’interaction avec leur communauté. Le « reach naturel » c-à-d le nombre de personnes atteintes par un post non sponsorisé, pourrait être divisé par 10 dans le futur. C’est très important surtout quand on sait que Facebook avait déjà fortement réduit la portée naturelle des post des pages il y a quelques années afin d’inciter les marques à recourir au contenu sponsorisé et donc payant. Il faut savoir qu’aujourd’hui une page qui compte par exemple 5000 « followers » atteint à peine 50 personnes via le « reach organique » ! Je vous laisse donc imaginer demain…

Les entreprises qui seront le plus touchées par ce nouvel algorithme seront donc les pme, les restaurants, les petites structures, etc.. qui ne disposent pas toujours d’un budget publicitaire significatif pour sponsoriser leurs posts. Il sera donc indispensable pour ce type de structure, de travailler le contenu de leur page et de soigner leur message. Il sera primordial de trouver ce qui intéresse réellement les gens et de ne pas se contenter de publier le contenu qui fait plaisir uniquement à la « marque ». En résumé il faudra repenser les contenus afin qu’ils soient le plus pertinents possible et surtout qu’ils créent de l’interaction avec les « followers » et de l’engagement auprès de la communauté. On ne pourra en aucun cas se satisfaire de quelques « likes » sur une publication ! L’achat de post sponsorisé deviendra certainement indispensable afin de relancer ou relayer le « reach organique ». Il faudra dans tous les cas augmenter sensiblement le budget pour toucher le même nombre de gens. Ce qui signifie aussi qu’il faudra bien choisir sa cible afin de toucher les bonnes personnes pour mieux convertir.

En résumé, la stratégie actuelle passera par une bonne identification des audiences auxquelles les annonceurs s’adressent, ensuite alimenter la cible choisie en contenu pertinent et tenter de garder le lien avec les personnes atteintes tout au long de leurs parcours afin de les inciter à passer à l’action ou à l’achat.

Vous l’avez compris, l’improvisation n’est plus de mise et se servir de Facebook pour les annonceurs se professionnalise encore plus.