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Taux de rebond : mais qu’est-ce donc ? Seul les entreprises qui ont un site doté d’ « analytics » pourront consulter ce chiffre. En effet le taux de rebond fait partie des statistiques propres à la consultation de votre site internet.

Plus votre taux de rebond sera élevé, au plus il s’agira de s’inquiéter. Car ce chiffre indique le pourcentage de personne qui ont quitté rapidement votre site sans visiter d’autres pages. Il détermine donc le nombre d’internautes qui ne se sont pas vraiment intéressés à votre site !

Mais il existe une panoplie de solutions pour y remédier et en voici trois essentielles.

1. Publiez des contenus adaptés à votre cible et faites appel à un copywriter expérimenté. Agrémentez votre texte de photos attirantes ou en adéquation avec votre message, mettez en évidence les mots clefs importants, utilisez une police bien lisible, etc…
2. Prévoyez une ergonomie soignée et une navigation claire entre les pages. Placez des boutons incitant à visiter d’autres pages, posez des top bar ou des pop-up aux endroits stratégiques. En bref guidez votre lecteur internaute à travers votre site tout en mettant en avant vos points forts.
3. Soignez la vitesse. Sur le web, l’internaute est pressé. Si votre site met trop de temps à charger, l’internaute sera parti. Il faut donc soigner le poids des fichiers et le temps de chargement des pages.

Attention qu’il faut interpréter le taux de rebond car dans certains cas, comme sur une page de contact, il ne sera pas forcément négatif si élevé, car il peut indiquer que l’internaute a trouvé l’information recherchée.

Toutefois, pour réaliser un site internet, comprendre les besoins de son client, son marché, ses prospects, ses atouts, etc… est essentiel. Une réflexion marketing préalable est plus que recommandée !
Ne confiez donc pas votre site internet au premier venu et assurez-vous des compétences de votre prestataire.

Google a beaucoup travaillé sur la pertinence des liens entre les sites ces dernières années et aussi sur leur contenu. Et cela Google l’a fait uniquement pour satisfaire sa clientèle, l’internaute qui utilise son moteur de recherche. Tout l’algorithme de Google s’est donc basé sur l’UX expérience ou l’expérience utilisateur. Voici donc quelques pratiques que Google ne laisse plus passer :

1. Du texte en mauvais français : les contenus avec des fautes ou une mauvaise syntaxe mais aussi les contenus avec des répétitions exagérées de mots-clefs sont de plus en plus sévèrement sanctionnés par Google. Ecrire du contenu de qualité est devenu indispensable pour l’utilisateur et donc pour les robots de Google.

2. Du contenu dupliqué : Google a horreur du plagiat et l’utilisateur d’un site ne voit aucun intérêt à relire ce qu’il a déjà découvert plus loin. Donc l’utilisateur ne retournera pas sur de tels sites ce qui a encouragé Google a faire le ménage parmi les « copieurs de contenu ».

3. Les liens sans rapport : Oui, beaucoup ont cru au « deep linking » à tout va. « Faites un maximum de liens Monsieur le client », ai-je souvent entendu dire. Mais quel est l’intérêt pour l’internaute d’avoir un lien cliquable sur un site de châssis vers un site de restaurant ? Aucun, c’est un gâchis pour l’expérience utilisateur et Google l’a bien compris. Dans les consignes de Google aux référenceurs, les liens qui visent à manipuler le classement constituent clairement une infraction !

   Mais d’autres pratiques s’avèrent tout aussi désastreuses pour votre référencement et le choix d’une bonne agence reste probablement la meilleure solution pour réussir.

Une étude réalisée par Yougov indique que Google serait la marque préférée de nos adolescents. Cette étude réalisée auprès de jeunes de 13 à 17 ans, soit la génération Z, explique que la marque est même estimée comme étant « cool ». Et une marque est cool auprès des jeunes à partir du moment ou elle apporte joie et bonheur mais aussi si elle est originale et se démarque des autres.

Google peut donc se féliciter d’être rentré dans le quotidien de notre jeunesse car non seulement les jeunes ont le pouvoir d’influencer leurs parents mais seront de futurs acheteurs et décisionnaires. Une autre marque de Google, Youtube, est tout aussi plébiscitée par la jeunesse et le navigateur Chrome est de loin le navigateur numéro 1 dans cette tranche d’âge.

Google a donc encore de belles années devant lui…

La manière de consulter le web évolue d’année en année même de mois en mois et de plus en plus d’internautes consultent directement les sites sur leur tablette ou smartphone. Certaines sources évoquent que plus de 50% des recherches se font aujourd’hui sur mobile. C’est la raison pour laquelle Google, le moteur de recherche dominant en Belgique et beaucoup de pays dans le monde, pousse les agences à proposer des sites s’adaptant à tout type d’appareil. C’est ce que l’on appelle le responsive web design. En effet Google souhaite offrir la meilleure expérience utilisateur possible à son public et parle depuis plusieurs années déjà de favoriser le référencement naturel de ce type de site. Les algorithmes de Google passent donc au « mobile-first ».

Mais fait nouveau, Google annonçait il y a quelques jours aux référenceurs que même les sites qui possèdent un site avec une version mobile, souvent avec un contenu allégé, ne seront à l’avenir plus pris en compte. Le système de classement favorisera donc à l’avenir les sites en responsive design. Alors si vous souhaitez garder votre référencement ou améliorer votre position dans le moteur de recherche favori du belge, opter pour le responsive design s’imposera dans les mois à venir. A bon entendeur…

Selon un panel de spécialistes SEO, voici les critères les plus importants susceptibles de hisser votre site web en haut des résultats naturels de Google. Cette liste est loin d’être exhaustive puisqu’il existe plus d’une centaine de critères de classement et n’oubliez pas que la « recette » de Google est en constante évolution.

1. Le « deeplinking » ou en d’autre mot les liens de sites populaires qui pointent vers votre page (quand c’est possible).

2. Mots clefs pertinents dans la balise titre par rapport à la requête de l’internaute

3. Site adapté à la navigation mobile

4. Rapidité d’affichage du site sur mobile

5. Présence de contenu enrichi en rapport avec les titres H1

6. Bonne ergonomie générale et présence d’une structure avec H1,H2, etc…

7. Page en HTTPS

Il existe aussi des critères négatifs de classement et ceux-ci feront l’objet d’un prochain post. Mais vous l’aurez compris, réaliser un site professionnel et bien référencé demande une solide expertise. Et même si ce que vous voyez à l’écran, est visuellement réussi, cela ne constitue pas une garantie de référencement optimal.